Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Liens

La page facebook du blog

Mes tableaux sur Pinterest

 

Blogs sur les costumes

Cortana, Costumes et corsets

Costumière hystérique

Couture Stuff

Couture urbaine

Loose threads : yet another costuming blog

Sarabandes

Sempstress 

Talons aiguilles et vieilles dentelles

Temps d’élégance

The Art of Clothes

 

Blogs de joueurs de GN

Caméléon Symphonique

Capharnaüm

Dans la tête de Liette

Electro GN

L’arbre creux

L’atelier épicé de Dame Cannelle

Les gobelins savent coudre

Merou’s blog

Mistress of disguise

O’Kryn Prod

Trame de fée, le costumier de Marah

 

Blogs de reconstitution

19th century costuming

A day in 1862

Adventures of a costumers (XVIIIe et XIXe siècles)

American duchess (du XVIe au XVIIIe et début XXe)

Arachne’s blog (Moyen Age, filage et cartons)

Art, beauty and well-ordered chaos (toutes périodes)

A stitch in time (Moyen Age)

Atelier Jugen (XIXe principalement)

Costume Diairies (toutes périodes)

Dentelles et satin (XVIIIe-XIXe)

Einarr & Sigarda Girbeson (viking)

Historical Personality Disorder (toutes périodes)

Idlewild illustré (XVIIIe-début XXe)

Katie Jacobs (XIXe)

Kleidung um 1800 (1795-1820)

La retourneuse de temps (XVIIIe-XIXe)

L’Atelier de Mathilde (Moyen Age)

L’atelier des Fontaines

Le dressing de Melle de l’Isle (XVIIIe)

Les reconstitutions d’Hémiole (Moyen Age)

Medieval silkwork

Mes essais de costume (de la Renaissance au début du XXe siècle)

Perline la tisserande (Moyen Age, tissage, cartons et filage)

Quand s’habiller devient une histoire… (Québec, XVIIe et XVIIIe siècles)

Racaire’s embrodeiry and needlework (Moyen Age)

Romantic history (principalement XIXe)

Such a eternal delight (de la Renaissance au XIXe)

The Couture Cortesan (XVIIIe et début XIXe)

The fashionable Past (de Marie Antoinette au XXe siècle)

The lady’s guide for re-enactress (XIXe)

The Story of a seamstress (XIXe, US)

Victorian times (XIXe, US)

 

Blogs de couture vintage

Elegant Musing

We sew retro

 

Blogs sur l’histoire de la mode

Femmes en 1900

Le costume dans tous ses états

Le costume historique

Les petites mains, histoire de la mode enfantine

OMG that dress !

 

Forums et communautés

La joieuse Aiguille

Les fées tisseuses

Ravelry

Thread and needles

 

Et  pour finir, un peu de cuisine (parce que c’est pas tout, mais qu’est-ce qu’on mange ?)

A la table de Gaëlle

A la table de L

Antigone XXI

Auntie Jo funny little kitchen

Chocolat etc.

Cléa Cuisine

La cuisine de Mercotte

Mais pourquoi est-ce que je vos raconte ça…

Recettes de conserve maison

 

Rechercher

Archives

21 juillet 2006 5 21 /07 /juillet /2006 18:11

    Il faut être réaliste quand on se met au tricot, il y a toujours des restes, des trucs de rien, mais la laine est si jolie qu'on va pas la jeter quand même ! Mais il existe des solutions pour celles qui ne jettent jamais rien et vos pelotes ne sont pas condamnées à prendre les mites au fond d'un placard.
    Par exemple on peut fabriquer des glands. Pour ce faire il suffit d'un rectangle en carton de la longueur du gland. On enroule la laine autour jusqu'à obtenir une bonne épaisseur (25 à 30 tours environ). Ensuite on passe un fil d'un coté du carton et on noue tous les fils ensemble. Puis on coupe l'autre coté. Enfin avec le fil qui reste on enroule le haut du gland (du coté du noeud). Il ne reste plus qu'à égaliser les bouts.
gland
    Bien sûr ils peuvent être monochromes ou multicolores.
    Et non les glands ne sont pas condamnés à décorer les rideaux de votre grand-mère. Ils peuvent évidemment décorer des bonnets ou des écharpes et plus largement tous les coins de vêtements, ponchos, châles, étoles. Ça peut être aussi une bonne solution pour rallonger une manche ou un pull un peu trop court : il suffit de coudre une série de glands le long de la couture.
    Enfin on peut s'en servir pour créer des bijoux en tissu en les utilisant comme de grosses perles ou comme des pendentifs.

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 18:12

    J'ai remarqué dans les statisitques de canablog qu'il arrivait que des pauvres agrégatifs égarés arrivent sur mon site (bah, oui, ça m'a pu m'arriver de parlé de l'agrégation d'histoire...). Je suppose qu'ils ont du être un rien effarés. Pour eux, j'ai commencé un autre blog avec des conseils pour passer l'agrégation d'histoire. C'est un blog 100% boulot et rien sur la couture cette foiis-ci mais si vous connaissez quelqu'un que ça pourrait intéresser, faites passer :

http://agreghistoire.canalblog.com

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2006 4 20 /07 /juillet /2006 18:07

 

    Après l'ourdissage on peut (enfin !) passer au tissage. Voici tout d'abord un shéma qui illustre la façon dont les cartons tournent au cours du tissage :
carton7
    Que l'on fasse pivoter les cartons vers l'avant ou vers l'arrière on obtiendra la même armure. Par contre pour obtenir un ouvrage cohérent il faut tourner tous les cartons dans le même sens tout au long de l'ouvrage.
    Pour tourner les cartons, il faut faire particulièrement attention à ne pas frotter les cartons sur les fils et à ne pas dédoubler les fils, d'où la nécessité de cartons à angles ronds. Voilà le shéma qui illustre la façon de tourner les carton pour que la duite s'ouvre bien :
carton14
    Normalement la duite s'ouvre selon l'écartement des trous dans le carton. On peut ensuite commencer à tisser.
    Pour commencer il est recommandé d'utiliser d'abord un cordonnet épais pour mettre les fil en place avant de passer au fil de trame. Les fils vont s'aligner les uns à coté des autres et obtenir ainsi la largeur du tissage. Le cordonnet sera retiré à la fin du tissage.
carton15
    Avant de passer au fil normal, il faut que la largeur soit bien mise en place et que tous les cartons soient revenus en position de départ. Ensuite il n'y a plus qu'à passer le fil de trame de droite à gauche, tourner les cartons, le passer de gauche à droite, tourner les cartons... Après avoir tourné les cartons, quand vous ouvrez la duite, utilisez le croisement des fils pour tasser le fil que vous venez de passer.
    Pour commencer et arrêter un fil : passer le fil dans la duite en en laissant dépasser un morceau. Tournez les cartons. Passez la suite du fil dans la nouvelle duite ainsi que le morceau du fil que vous aviez laisser en arrière, puis continuez le tissage.

carton16

 

Partager cet article
Repost0
19 juillet 2006 3 19 /07 /juillet /2006 17:07

    Parce qu'il n'y a pas de raison qu'il n'y en ait que pour vous mesdames, voici le pendant à mon post sur le costume féminin du XVIIIe siècle.

    La mode masculine était beaucoup plus chargée et développée que la mode féminine au XVIIe siècle. Elle se fait un peu plus discrète au XVIIIe siècle et semble se rééquilibrer par rapport à la mode féminine pour obtenir des couples visuellement plus harmonieux.
    "L'habit à la française" se compose d'une veste ou "habit" (appelé justaucorps au XVIIe siècle) dont la forme va progressivement évoluer ainsi que d'un gilet qui est la pièce d'apparat la plus importante et d'une culotte. Dessous : une chemise blanche, une jabot et des bas de soie complètent l'ensemble. Les pans de l'habit s'évase vers l'arrière très haut sur le buste ce qui permet de révéler les broderies du gilet, souvent plus recherchées que celle de l'habit et d'économiser du tissu sur l'avant du vêtement.
homme1780Un habit à la française datant de 1780.

    Le costume masculin a des couleurs vives et est luxueusement brodé. Même les boutons étaient recouverts de tissu brodé.
    De nombreux ateliers de broderie se trouvaient à Paris. On utilisaient des fil d'or d'argent et de soie, parfois des sequins. La broderie était effectuée avant la coupe, souvent à partir d'un catalogue de broderies dans lequel le client piochait selon son goût. Les musées conservent encore aujourd'hui des pièces de tissus brodées mais jamais assemblées.
homme1765homme21765homme31765    Le costume fabriqué en France pour le roi du Danemark vers 1765

    Comme pour la mode féminine, mais beaucoup plus pour la mode masculine, l'influence anglaise est omniprésente. C'est à cette époque que le fief de l'élégance masculine s'installe en Angleterre, ce qui reste très vrai aujourd'hui : l'élégance féminine est française, l'élégance masculine est anglaise et il faut aller en Italie pour retrouver l'élégance des accessoires, en particulier ceux en cuir : sac, gants, chaussures.
    L'influence anglaise arrive surtout au milieu du siècle sous la forme de la redingote (qui sera uniformément adopter au XIXe siècle). Il s'agit d'une veste à col à revers taillé dans un tissu de couleur unie. La redingote ou frac est portée en tenue de ville. Comme pour la robe à l'anglaise, la redingote est considérée comme beaucoup moins formelle que l'habit à la française.
redingote

    Pour plus d'image je vous conseille de consulter le catalogue de la dernière exposition du musée Galliera : Mode en miroir qui comparait la mode française et holandaise au XVIIIe siècle.

Partager cet article
Repost0
18 juillet 2006 2 18 /07 /juillet /2006 13:58

 

Ya des jours !!
    Y'a des jours où rien ne marche : je couds, je découds, je recouds, le fil casse en plein milieu du fil à froncer, j'enlève le fil, je recouds, c'est trop petit, y'a plus qu'à rajouter 20cm. Je roule tout en boule. Basta !! on reviendra dessus plus tard.
    Le problème avec les vacances, c'est que toutes les copines sont parties bronzées et que mon chéri est bloqué au bureau... Toute seule... Bouh !!! En plus chéri aura pas de vacances, je vais partir avec mes parents sans lui alors qu'il restera à suer à Paris : c'est pô juste !!
    En plus Burda ne donne plus de patron gratuit.
    Bref, heureusement qu'il reste les blogs pour continuer à causer avec mes copines cousettes. J'ai passé en revue mes liens et je les remets à jour ici. Je rajoute quelques catégories, pour qu'on puisse s'y retrouver. Le problèmes c'est que mes liens sont tous mélangés malgré les sous-parties : fourniture, blogs, forums... Je vous mets tout ça en ligne.
    Enfin pour les customisatrices, allez remplir le questionnaire d'Elodie qui étudie le phénomène de la customisation. Ca prend un petit quart d'heure.

 

Partager cet article
Repost0
17 juillet 2006 1 17 /07 /juillet /2006 14:15

    Il est très facile de fabriquer une couronne de fleurs à base de fleurs articifielles pour compléter une tenue. Voici par exemple celle que j'avais fabriquée en une soirée pour un GN où je jouais une fée de l'été :
IMAG0062

IMAG0063
    Pour la fabriquer, j'ai utilisé ça :
IMAG0061
    Ce sont des fleurs articielles que j'ai achetées chez Truffaut. Les tiges sont assez souples et on peut les redécouper pour obtenir des tiges souples de la taille que l'on souhaite. J'ai donc courbé les tiges, j'ai ensuite pris du fil vert et j'ai ficelé ensemble les tiges pour former un cercle, il faut ensuite adapter le cercle à la taille de la tête. Une fois qu'on a la bonne taille pour la tête on peut rajouter d'autres garnitures : par exemple sur ma couronne j'ai d'abord utilisé les tiges de fleurs jaunes puis j'ai rajouté des feuilles vertes pour l'étoffer.
    Le fil n'est pas très pratique à utiliser et peut être avantageusement remplacé par le scotch vert utilisé par les fleuriste pour composer les bouquets.
    Sur le même principe on peut réaliser des couronnes avec pas mal de choses : des branches de feuilles, éventuellement des fleurs fraîches... et pourquoi pas en fleurs d'oranger pour un mariage ?
    On peut aussi utiliser le fil de fer pour jardinage (un fil de fer très épais vert, pratique et pas dangereux grâce à son épaisseur). On forme la couronne avec le fil de fer (deux ou trois tours pour assurer une bonne rigidité) puis on entoure les fils d'un ruban pour les dissimuler. Sur le ruban on peut coudre ou coller ce qu'on veut : plumes, noeuds de couleur, pétales de tissu, perles...

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2006 5 14 /07 /juillet /2006 14:04

    Premières envies et premiers essais sortis de ma petite tête.
    D'abord une visite du côté du marché saint-pierre pour me constituer un ensemble d'échantillons qui doit me permettre ensuite de choisir les matières les plus agréables à travailler et à porter. Le tout dans les blancs bien sûr :
IMAG0054
    De gauche à droite et de haut en bas : panne de velours, non-tissé, taffetas, tulle et lin.
IMAG0055
    Gros plan sur le non-tissé, une des matières que je préfère pour son coté aérien et féérique. Quand il est apparu il y a sept ou huit ans, le mètre de non-tissé coûtait une petite fortune, maintenant qu'il est largement répandu, on le trouve à 3,80E le mètre. Je crois que la technique pour l'obtenir est assez similaire à celle de fabrication du feutre : on compacte ensemble des fibres qui se collent soit naturellement soit par ajout d'une colle, mais dans le cas du non-tissé les espaces entre les fibres sont beaucoup plus apparentes.
    Je n'ai pas pris de vrai blanc, ce qu'on appelle le blanc 4/4. Je préfère des blancs cassés, champagne ou ivoire qui sont de mon point de vue plus doux à l'oeil et plus chaleureux. Le vrai blanc me semble artificiel (et il l'est car il est très difficile d'obtenir une fibre vraiment blanche de façon naturelle), asseptisé, médical.

    Ma première idée est d'utiliser le pochoir.
    Pour se faire j'ai acheté de la peinture pour tissu au sous-sol de Rougier et Plé. C'est de la peinture pébéo pour tissu : setacolor opaque qui existe en deux sortes : normale ou moirée (il en existe aussi de la transparente mais je suis méfiante). L'intérêt de cette peinture est que les différentes couleurs peuvent se mélanger et qu'elle se fixe au fer à repasser (donc ensuite elle peut passer à la machine à laver jusqu'à 40°C).
    Pour le pochoir lui-même, j'ai utilisé du transparent à rétroprojecteur. C'est le film plastique épais que l'on utilise pour projeter des images et des plans, bref un truc de prof. Mais il se trouve que j'en ai une boite de 200 et que c'est tout à fait adapté pour le pochoir : à la fois souple et un peu rigide, il peut être nettoyé à l'eau. Il suffit de décalquer le modèle (mieux vaut utiliser un feutre permanent pour ne pas en avoir plein les doigts) puis de le découper au cutter.
    Et voilà le résultat :
IMAG0058

IMAG0059
    La difficulté au début est de réussir à doser la quantité de peinture qui convient à chaque tissu. Les tissus naturels : coton, lin, absorbent plus de peinture là où les tissus en fibres synthètiques en absorbent beaucoup moins et les peintures fusent et font des pâtés si on met trop de peinture sur ces tissus là.

Partager cet article
Repost0
13 juillet 2006 4 13 /07 /juillet /2006 16:43

 

    L'ourdissage est la partie la plus pénible et la moins amusante du travail de tissage (de mon point de vue), mais ça reste indispensable. Ourdir consiste à tendre les fils de chaîne au travers du métier en les installant sur les cartons (ou les lisses).
    Il est très important de garder une tension égale et constante dans les fils pour obtenir un travail régulier et éviter que le ruban fini ne gondole.
    Avant l'ourdissage il faut définir la longueur des fils et la quantité de cartons à monter. Pour ce qui est de la largeur on peut facilement calculer le nombre de fils nécessaires pour faire un cm en enroulant le fil autour d'une règle (sans serrer) : après on met tous les fils côte-à-côte et il n'y a plus qu'à compter le nombre de fil nécessaires pour couvrir un cm. Bien sûr plus les fils sont épais, moins il y en a au cm. Ensuite pour calculer le nombre de cartons nécessaires pour un cm il suffit de diviser par 4, puisqu'il y a quatre fils par carton.
    Pour la longueur des fils à couper il faut d'abord définir la longueur de l'ouvrage fini. A ce chiffre il faut rajouter la longueur de fil nécessaire à attacher le fil sur le métier mais qui ne sera pas travaillé, c'est-à-dire 10 à 20 cm au début et à la fin de l'ouvrage. Il faut aussi compter l'embuvage. Ce terme désigne le rétrécissement de la chaîne au cours du tissage, en effet les fils selon la matière qui les composent sont plus ou moins élastiques, sur le métier ils sont tendus, mais quand on les détache du métier ils reprennent leur propre dimension et se rétractent On compte en règle générale 10% d'embuvage, mais tout dépend de la matière travaillée : la laine est très souple alors que le lin casse plus facilement par manque d'élasticité. Attention pour l'ourdissage on utilise un fil par carton il faut donc multiplier la longueur désirée par 4.
    Une fois que vous avez défini longueur des fils et nombre de cartons, vous pouvez les couper. Soit vous les mesurez et les coupez un par un, surtout s'ils sont peu nombreux. Soit vous utilisez un cadre à ourdir qui permet de tendre le fil sur une certaine distance puis de couper tous les fils nécessaire d'un coup.
ourdir
    Si vous n'avez pas de cadre à ourdir il vous suffit de tendre le fil entre deux points fixes écartés selon la longueur voulue. Dans tout les cas prenez garde de ne pas mélanger les fils car défaire les noeuds est toujours une énorme perte de temps (et de patience).
    Et maintenant l'ourdissage proprement dit en photo (cliquez pour agrandir).
carton8
    La même chose mais sur un métier à carton :
carton9
    Il faut faire particulièrement attention à la façon dont on enfile les cartons : il faut absolument tous les enfiler dans le même sens pour que les cartons tournent sans problème et qu'il n'y ait pas de défaut dans le tissu fini :
carton6

 

Partager cet article
Repost0
12 juillet 2006 3 12 /07 /juillet /2006 17:46

125g de noix de coco en poudre
20cl de lait de coco
3càs de lait
1 gousse de vanille
150g + 20g de beurre
140g de sucre
4 oeufs
150g de farine
50g de fécule
1/2 sachet de levure
sel

Allumez le four à 180°C (th. 6).
Mettez la poudre de coco dans un saladier et mouillez la avec un peu de lait de coco et le lait.
Fendez la gousse de vanille en deux, récupérez les graines et les versez dans le saladier.
Mettez le beurre ramolli dans un autre saladier, travaillez-le avec le sucre et les jaunes d'oeuf.
Incorporez la farine, la fécule, la levure et une pincée de sel, mélangez. Ajoutez le mélange de noix de coco, mélangez bien.
Battez les blancs en neige ferme et incorporez-les.
Mettez la pâte dans un plat à cake, enfournez, laissez cuire 45 min.
Démoulez et laissez refroidir avant de servir.

Et voilà c'est délicieux !!

Partager cet article
Repost0
12 juillet 2006 3 12 /07 /juillet /2006 13:14

    C'est le mois des grands évènements : juste avant mes oraux, le Chéri m'a demandé ma main !! Le temps que je réalise, il m'a bien fallu trois semaines. C'est prévu pour le 27 octobre 2007.

    Je suis heureuse mais... je flippe complètement. Il n'y a pas d'autres mots, je trouve ça proprement terrifiant. Pas le fait d'être marié, mais la cérémonie elle-même : j'ai l'impression que je ne réussirais jamais à mettre tout le monde d'accord, à boucler un budget, à ne pas mordre à la moindre remarque...
    Le pire c'est que le Chéri a dit qu'il ne fallait pas que je prévois de faire moi-même la couture parce que j'aurais pas le temps. Et pis quoi encore ! Je suis aussi sensée me faire plaisir, pas obligé que tout soit une corvée !! Donc je cogite, je réfléchis, j'invente la déco. J'ai couru les boutiques, fait une provision de tissu blanc au marché saint-pierre et dès que je réussis à réaliser quelque chose, je vous montre...

Partager cet article
Repost0