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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 20:10

   Le week end dernier, l'Homme et Miz étaient à la montagne et moi pauvre forçat ,j'étais restée travailler (oui cher lecteur dans la vraie vie, je travaille aussi). Comme j'avais plein de place, je me suis lancée dans un projet fou : teindre moi-même ma laine. Si, si.

   J'ai suivi les explications qui se trouvent sur le site de tricotin et qui sont très bien faites avec images, précisions et tout et tout.

   J'ai installé ma cuisine en mode "attention ça va saigner teinter" :

05-01-11 001

   Et puis j'ai choisi de faire des choses simples pour voir un peu. D'abord du bicolore primaire :

05-01-11 002

   Bon ça fait un peu trop drapeau à mon goût. J'espèrais que le rouge et le bleu se mêlent plus.

   Deuxième essai, toujours en couleur primaire mais des bandes plus larges et pas de blancs.

05-01-11 003

   Cette fois-ci le jaune et le rouge ont plutôt bien fusionné et formé du orange comme je l'espérais.

   Dernier essai, on ose le mélange :

05-01-11 004

   Ca fait assez marron d'ici mais en fait ça tire plutôt sur le mauve. Ah les couleurs passées à l'appareil photo !

  J'ai essayé en épongeant plus ou moins et en faisant cuire plu ou moins pour voir ce que cela donne. Les tests 1 et 3 ont été très épongés et cuits longtemps tandis que le test 2 a été peu épongé et cuit mons longttemps. Mais je ne suis pas sûre de trop voir la différence pour l'instant.

   Ensuite il faut être patient, parce que ça met du temps à cuire, à rincer et à sécher.

   J'ai eu une grosse frayeur au moment de rincer : le rouge a terriblement dégorgé. Et le violet pas du tout : c'est assez mystérieux. Finalement j'ai rerincé les deux écheveaux avec du rouge en ajoutant à l'eau du vinaigre et hop, comme par magie, ça ne dégorge plus. Bon, ça sent un peu le vinaigre quand même, j'ai du un peu forcer la dose.

  Trèves de paroles, voici les résultats :

05-01-11 005

Et prêt à filer :

05-01-11 007

Mon fuseau me démange !

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 20:37
   Tout nouveau, tout beau !
   Je viens de vous créer une nouvelle page où je commence un dictionnaire des techniques autour du fil. Parce que j'ai réussi àpiéger chéri qui ne sais pas que je fais du point de croix et pas de patchwork, et parce que ma soeur utilise le mot macramé pour parler du patchwork, du coup je comprenais rien à ce qu'elle voulais faire.
   Pour y jeter un coup d'oeil c'est dans la barre à gauche.
   Pour vos suggestions de techniques à présenter (là il n'y en a pas beaucoup pour l'instant), c'est dna sles commentaires.
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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 17:36
    Tout d'abord merci pour tous vos gentils commentaires, je n'ai pas toujours le temps de répondre (parce que je suis une grosse faignante) mais ça me va droit au coeur.

    En regardant le blog de mon ancienne NSP et surtout les dréations qu'elle m'a envoyé j'ai commencé à me dire que je me mettrai bien à la pâte fimo. C'est un matériel très polyvalent, qui donne de beaux résultats, en particulier en ce qui concerne les mélanges de couleur. J'ai donc acquis un "kit de démarrage" composé de 24 demi pain de pâte fimo (25g). Mais voilà, par quoi commencer ?
    Par trainer sur internet bien sûr ! Internet où j'ai trouvé deux sites qui m'ont donné mes première idées : paroles de pâte qui réunit des tutoriaux de différents blogeurs, des faciles aux absolument improbables, et fimo.info, le portail de la création de bijoux en pâte polymère, qui présente la pâte et donne des conseils de base.
   Ensuite je suis passée à la fanc, haut lieu de perdition ! Moi ce qui m'intéresse ce sont les perles elles-mêmes, pas les montage des colliers, ça je sais déjà faire et j'ai des tas d'idées, donc la plupart des livre ne me convenait pas bien puisque la moitié des explications portent sur comment assembler le bijou fini. Seul celui-là a trouvé grâce à mes yeux :

    Parce que justement il explique les techniques pour créer les perles elles-mêmes.

    J'ai fini par me lancer. Plutôt que des perles, j'ai fait des boutons, parce que j'en ai marre de payer plus cher de boutons que de tissu) :

Ceux-là c'est un boudin marbré dont j'ai découpé le boudin en tranche. Mais ils ne sont pas très ronds je trouve, parce que le boudin a tendance à s'aplatir. Je crois que je ne l'avais pas laissé assez longtemps au frigo.

Quant à ceux-ci j'ai aplati le boudin pour en faire une plaque dans lequel j'ai découpé des morceaux à l'emporte-pièce. Plutôt plus réussi comme marbrure mais l'épaisseur me semble trop irrégulière.
Et voilà à quoi on servit les boutons :

   Honnêtement je n'aurai jamais cru le finri, donc je suis trop fière.

    Les problèmes à résoudre : trouver une technique pour faire des plaques plus fines et trouver un plan de travail parce que le papier journal c'est pas terrible et ça colle. Dernière chose : réussir à faire des photos moins flou mais là je ne promets rien.
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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 11:27
    Quand j'avais une dizaine d'années, je me souviens d'une séance de peinture sur soie de ma maman. Elle avait installé un grand chassis en bois sur le carrelage de la cuisine puis elle avait tendue un tissu blanc et doux dessus avec des punaises à trois pointes. Ensuite on avait étalé les couleurs, des couleurs particulièrement intenses et fortes qui s'étaient mélées les unes aux autres sur les bords. On avait aussi rajouté du sel pour faire des motifs là où le sel buvait la teinture.

    C'est en me souvenant de cette scène que j'avais envie depuis quelques temps de m'intéresser à la technique de la peinture sur soie, mais j'ai découvert qu'un seul post n'y suffirait probablement pas.
    Le plus souvent la peinture sur soie sert à la confection de foulards, surtout pour des raisons techniques : tout dépend de la taille du chassis utilisé. Mais après tout il doit être possible de teindre des surfaces plus grandes ou de les redécouper pour obtenir des sacs ou autres petits accessoires et pourquoi pas des vêtements particulièrement originaux.

    La difficulté à commencer la peinture sur soie repose sur 2 choses. D'abord le matériel nécessaire qui est assez important et surtout qui ne sert qu'à ce genre de technique. Ensuite la diversité des techniques que l'on peut utiliser est assez déroutante quand on commence.
    Bref aperçu des principales techniques, qui peuvent bien sûr être combinées les unes aux autres.
    La gutta est une sorte de gomme qui permet de délimiter des plages de couleurs. Elle bloque la teinture et permet de reproduire un motif ou un dessin. Il en existe même en couleur.
    L'antifusant permet de peindre la soie comme si c'était du papier, cela donne un effet aquarellé.
    Le sel peut remlacer en partie la gutta pour définir des plages de couleurs mais il modifie ces couleurs en absorbant une partie de la teinture.
    Le batik est une technique d'origine javanaise qui consiste à tracer un dessin avec de la cire, puis on trempe le tissu dans de la teinture et tout ce qui n'est pas recouvert de cire est teint. On peut utiliser plusieurs bain de teinture successifs pour déposer plusieurs couleurs, mais dans ce cas il faut que les premières couleurs soient bien recouvertes sinon elles seront reteintes.

    Quelques liens pour en voir un peu plus : le club des margouillats. la galerie virtuelle de Michal et Martine.
    Et pour trouver le matériel : la boutique Aubijoux.

    Un livre que je vous recommande si je vous ai donné envie de vous y mettre : pssoie.jpg
Chaque technique y est détaillée une par une avec à chaque fois un exercice d'application.
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24 janvier 2008 4 24 /01 /janvier /2008 20:42
     Petit éclairage sur une technique : le macramé.
     Très à la mode dans les années 70 dans des fils énormes et d'une utilité contestable (cache pot et ceinture en tête), le macramé a longtemps été le symbole des travaux manuels hippies avec le tissage de fils énormes et les abats jours en feuilles de maïs. Riez pas, j'y étais pas mais je sais que ça c'est fait... et les feuilles de maïs ça prend sacrément la poussière.
    Il faut dire que la technique est particulièrement simple. Deux noeuds de base : ceux qu'on utilise aussi dans les bracelets brésiliens, et le traditionnel noeud plat. Et avec ça on peut obtenir toute une série de motifs. Et ça devient très joli surtout si on utilise un fil fin.
photo-fils-026.jpg

photo-fils-034-copie-1.jpg

photo-fils-029.jpg

Et voici les franges de mon coussin de mariage...
photo-028.jpg

photo-fils-024-copie-1.jpg
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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 16:39
    Voici une découverte de Bourbonne-les-Bains dont je ne vous avait pas encore parlé... Je sais je suis très en retard. Voici donc quelques photos du stand de Couleurs de perles.
photo-fils-003.jpg

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photo-fils-005.jpg

   Le tissage de perles n'utilise pas de métier à tisser, il repose sur le fait de repasser plusieurs fois dans la même perle, ce qui nécessite des aiguilles fines et des perles très bien qualibrées. On crée ainsi un réseau plus ou moins dense qui permet de créer de nombreux motifs. C'est une technique très ancienne, qui remonte probablement à la préhistoire, avec à l'époque des perles naturelles en bois, os, cornes, céramique, etc. La technique s'est aujourd'hui affinée, tout comme les perles de rocailles qui sont de plus en plus fines.
    Pour en savoir plus sur la techniques du tissage de perles rendez-vous sur son site Couleurs de perles qui propose notament des perles japonaises, les plus faciles à travailler dans ce genre de bijoux car les mieux qualibrés.
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1 octobre 2007 1 01 /10 /octobre /2007 19:44

 

    Un de mes derniers dadas. Je me suis découverte une passion sincère pour ce style de dentelle. J'ai toujours bien aimé les motifs végétaux de cette dentelle. Mais ce qui a été le vrai déclic, c'est d'être tombé sur cette photo. Bien sûr ça vient du Kyoto Costume Institute :

   Je trouve ça superbe, époustouflant (sans parler du travail qu'il doit y avoir derrière). Bref ça m'a ouvert plein de perspectives et j'ai trouvé quelques bouquins sur la question à Bourbonne-les-Bains.
   La guipure d'Irlande est une dentelle au crochet sur cordonnet. On fabrique d'abord les motifs indépendamment puis on les place sur un dessin et on lie les motifs entre eux par des brides. Elle a été inventée en Irlande par des congrégations religieuses pendant les grandes famines des années 1850. Ces famines, liées en grande partie à la maladie de la pomme de terre, ont entraîné la perte de la moitié de la population de l'époque, de façon directe ou par le départ vers les États-Unis.
   Cette guipure s'inspire de la dentelle vénitienne. Elle fut vendue dans toute l'Europe dans la deuxième moitié du XIXe siècle et connue un certain succès.
   Ses motifs s'inspirent de la faune irlandaise (oui, il y a des palmiers en Irlande). Ce que je préfère, ce sont les roses en relief dont chaque pétales se détachent.

   Quelques livres pour se lancer :
guipure_2guipure1

   Je rajoute d'autre photo demain, là je regarde l'émission d'arte sur l'histoire du look. Passionnant, vous avez la suite toute la semaine de 19h à 19H45. A voir absolument.

 

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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 23:02

 

   Apparemment je n'ai pas été très claire sur le livre d'où j'ai tiré les images sur le tissage au carton. Comme j'ai eu plein de messages sur la question je réexplique.
    Donc c'est un livre paru dans les années 70, collection Manu presse, chez Dessain et Tolra. Il s'appelle Le Tissage au carton et fut écrit par Marjorie et William Snow.
carton11 carton12
   Il est hors d'impression, probablement depuis avant ma naissance, donc aucune chance de le trouver en librairie.

 

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24 août 2006 4 24 /08 /août /2006 17:41

 

    Bah oui c'est bien joli de tisser mais comment on le finit notre galon ? Comme ça :
carton18
vous pouvez au choix :

  • tresser les fils
  • les nouer,
  • faire des franges,
  • entrelacer les fils
  • ou encore finir à l'aiguille par un point de surjet ou de feston.
On peut aussi si on le veux coudre deux bandes ensemble pour obtenir un galon plus large :
carton19

 

 

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27 juillet 2006 4 27 /07 /juillet /2006 18:48

 

    Bon apparemment canalblog remarche ce qui est déjà pas mal parce que tout à l'heure mon ordi ne trouvait même plus le serveur...

    Une fois que vous maîtrisez les aspects simples du tissage au carton vous pouvez vous amuser à compliquer les choses. Parce que faire tout ça pour obtenir des bandes unies, ça n'en vaut vraiment pas la peine.
    Pour élaborer un motif, seuls les fils de chaîne sont pris en compte car les fils de trame disparaissent une fois le tissage avancé à cause de la torsion qu'il y a entre chaque duite. L'autre aspect qui peut entrer en jeu c'est le sens dans lequel vous tournez les cartons. Il y a deux façons de tourner les cartons : vers l'avant ou vers l'arrière.
    Par exemple pour réaliser des chevrons (des V) il faut d'abord monter les cartons comme suit : 1er carton : noir en A et B, blanc en C et D ; 2e carton : noir en B et C, blanc en D et A puis 3e carton : noir en C et D et blanc en A et B et enfin 4e carton : noir en A et D, blanc en B et C. Montez autant de cartons que nécessaires. Pour tisser, vous allez diviser vos cartons en deux groupes égaux et tourner la moitié des cartons vers l'avant et l'autre moitié vers l'arrière. Gardez le sens de rotation tout au long du tissage et vous obtenez des chevrons. Si vous inversez le sens après quelques duites, vous obtiendrez des losanges.
    Ainsi selon le sens dans lequel vous tournez les cartons, vous pouvez obtenir différentes contextures :
carton17
    On peut donc réaliser des galons bicolores ou multicolores selon des formes géométriques.   
    Voici quelques croquis d'enfilage pour vous donner des idées, mais vous pouvez en créer autant qu'il y a de possibilités :
carton22
    D'un coté vous avez la photo et de l'autre le croquis pour la réalisation.
carton21
carton20
carton23
    Cliquez sur les images pour agrandir.

 

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